C’est exactement ce que vous vous écrierez en arrivant.
Pour les Marseillais·e·s, rien de nouveau : c’est une exclamation d’ici, un signe de ponctuation locale (variante libre : Oh faan ! Oh fatche de con ! Oh faan de chichoune !).
Pour les non-Marseillais·e·s : ça veut dire très simplement… « WOW ! »
Bref : préparez-vous à être époustouflé·e·s.
Bienvenue impasse de la Salette, là où le Roucas Blanc décide de montrer son meilleur profil.
On grimpe une volée de marches typiques du coin, on respire, et… bam, on découvre le trésor.
Vous entrez d’abord dans ce qui ressemble à un mini-hameau privé, niché au sein d’une ancienne bastide.
Un petit village pour soi tout seul :
– une cour charmante,
– une ambiance hors du temps,
– de la verdure et des essences méditerranéennes,
– et directement… votre future terrasse.
Et quelle terrasse !
17 m² accrochés à la roche, un calme olympien, et la Bonne Mère juste au-dessus qui murmure : “T’inquiète, t’es bien ici.”
Ensuite, le balcon file tout le long du logement : premier ET dernier étage, donc personne au-dessus… ni sur les côtés. Bonjour la tranquillité.
À l’intérieur :
– une pièce de vie + cuisine ouverte de plus de 25 m²,
– une salle de bain avec une pile en pierre de Cassis réinventée en lavabo (craft local 10/10),
– une chambre avec placards,
– des WC séparés,
– et une petite deuxième chambre : enfant / bureau / dressing / atelier de vos rêves.
Le must du must ?
Plein Sud. Ultra lumineux. Zéro vis-à-vis. Le chant des oiseaux.
Juste la verdure, la roche et vous.
Soleil d’hiver, fraîcheur d’été : le combo parfait.
Et le quartier ?
Ben… le Roucas, quoi.
Le vrai. Celui que tout le monde veut, mais que très peu ont.
Ce trésor ne va pas rester caché très longtemps.
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